song lyrics / Lucienne Boyer / Gigolette lyrics  | FRen Français

Gigolette lyrics

Performer Lucienne Boyer

Gigolette song lyrics by Lucienne Boyer

Gigolette is a song in French

Lorsque la nuit s'épanouit
Mystérieusement comme une fleur funèbre
Le dernier bruit s'évanouit
Et la ville s'endort dans le xx des lèvres
Il c'est alors que dans l'ombre qui les protège
Et tout xxxxxx parlant tout bas
L'attaché xxxxx sous le ciel lourd de neige
Cachant au ras des murs leur étrange manège

Et le beau gars serrant dans ses bras
Sa gigolette, sa gigolette
Lui sourit et tendre lui dit :
Ma gigolette, ma gigolette
J'te f'rai jamais gagner l'gros lot
Mais quand fortune tape au rideau
Les rupins coquins s'amenaient toujours
Ça c'est la vraie amour

Sur le boulevard, il se fait tard
Et le bourgeois craintif se rend vers sa demeure
Un jeune fêtard, au teint blafard
S'avance en frissonnant sous la bise qui pleure
Et c'est alors que dans l'ombre qui le protège
Et tout xxxxxxx on n'entend pas
Brusquement la xxxxx se jette sur le gibier pris au piège
Un cri d'angoisse, un râle et du sang sur la terre

Et le beau gars serrant dans ses bras
Sa gigolette, sa gigolette
Lui sourit et tendre lui dit :
Ma gigolette, ma gigolette
Je viens de décrocher le gros lot
Mais ta vraie fortune c'est Julot
Les rupins peuvent bien s'amener toujours
Rien ne vaut la vraie amour
Lyrics credits :
lyrics added by N/A

Comments for Gigolette lyrics

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#1 François Benoist
01/05/2016 at 16:10:45
Erreurs et omissions dans les paroles de Roger Ferréol et Max Eddy. Les paroles complètes et exactes : Lorsque la nuit S'épanouit Mystérieusement comme une fleur funèbre Le dernier bruit S'évanouit Et la ville s'endort dans le deuil des ténèbres. Et c'est alors que dans l'ombre qui les protége Etouffant leurs pas Parlant tout bas L'apache et sa môme s’en vont sous le ciel lourd de neige, Cachant au ras des murs leur étrange manége. Et l’beau gars, serrant dans ses bras Sa gigolette, sa gigolette, Lui sourit et tendre lui dit : Ma gigolette, ma gigolette ! J'te f'rai jamais gagner l'gros lot, Mais quand Fortune tape au rideau Les rupins coquins s'amènent toujours, ça c'est la vraie amour Sur le boulevard, Il se fait tard Et le bourgeois craintif se hât’ vers sa demeure Un jeun’ fêtard Au teint blafard S'avance en frissonnant sous la bise qui pleure. Et c'est alors que dans l'ombre qui le protége Etouffant ses pas Qu’on n'entend pas Brusquement l’apach’ se jett’ sur le gibier pris au piége Un cri d'angoisse, un râle et du sang sur la neige. Et l’beau gars serrant dans ses bras Sa gigolette, sa gigolette, Lui sourit et tendre lui dit : Ma gigolette, ma gigolette ! Je viens de décrocher l’gros lot, Mais ta vraie fortune c'est Julot Les rupins peuvent bien s'am’ner toujours Rien ne vaut la vraie amour.
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