Besoin de rien est une chanson en Français
Mais après, ouais, pourquoi pas
Ouais
Mais en terme d'apéro, j'trouve pour moi c'est le truc quoi, tu vois
C'est pas pareil que les cacahouètes grillées
Ouais, okay, ouais ça, ça m'va moi
Ouais, tu sais c'est bien comme ça
Putain 15 minutes le bus là, ça dure une plombe
Ouais
Ben' il est dans son coin là
Ou p't-être sur des Chipsters, excuse moi j'suis un peu
Ouais
Un air fredonné dans sa chambre ou bien sous un abribus
Les mots qui s'invitent et s'inventent, pas besoin de beaucoup plus
Appelle ça de l'art brut, de l'art sauvage, appelle ça de l'art nu
Quand ta scène est un champs, un voyage ou un banc au bout de l'avenue
Un banc au bout de l'avenue devient un désert ou lagune
Enfant de la lune ou de la rue, bal poussière mélopée du bitume
Nos voix traversent l'espace, les frontières imposées
Des mots claquent dans l'air en tonnerre, pour ne jamais retomber
Pour ne plus jamais retomber dans nos plus mauvais travers
Rester dans la vraie vie ancrés, oublier les métavers
Se satisfaire de très peu et voir ce que l'on devient
Regarder le vrai dans les yeux et n'avoir besoin de rien
N'avoir besoin de rien sauf de mes rimes et de mes frères de plume
On se détache de tout, donc on ne perdra plus
Retirer l'armature, relier nos cœurs, nos esprits, nos âmes
Autour d'un verre ou d'un feu, d'un arbre à palabres
D'un feu, d'un arbre à palabres, d'un jeu, d'une flamme bavarde
Un vieux retard de ses larmes, une oeuvre d'art se balade
Une oeuvre d'art innocente qui nait d'un esprit ignare
Une lumière incandescente issue d'un souffle oratoire
Issue d'un souffle oratoire, au commencement était la parole
J'effleure des bouquets de prose aux mélodies corolles
Je chantonne des gospels de l'âme pour de grands enfants tristes
Il est l'heure, messieurs, mesdames, que nos poèmes rentrent en piste
Que nos poèmes rentrent en piste même s'ils ne trouvent pas d'oreilles
Ils auront toujours le mérite de s'élever vers les soleils
Vers les soleils et les lunes qu'ils auront eux-même inventés
Ils se créeront leurs propres routes se sentant toujours indomptés
Vers les soleils et les lunes qu'ils auront eux-même inventés
Ils se créeront leurs propres routes se sentant toujours indomptés
J'te connais toi t'es souvent triste
t'es tout l'temps tendue
Laisse aller les pensées qui brisent ton moral
Pour l'instant regarde moi
Et jusqu'à c'qu'on soit séparé
Rejoins moi sur cette chorale
J'te connais toi, t'es souvent triste
J'te connais toi, t'es tout l'temps tendue
Laisse aller les pensées qui brisent ton moral
Pour l'instant regarde moi
Et jusqu'à c'qu'on soit séparé
Prend l'instinct qui reste en toi
Rejoins moi sans rien présager
Pour l'instant regarde moi
Et jusqu'à c'qu'on soit séparé
Prend l'instinct qui reste en toi
Rejoins moi sans rien présager
J'ai besoin de rien ouais j'ai tout donné
Je vois au loin la vie qu'j'ai rêvée
Je suis sur demain je vais la trouver
Je vais la toucher cette vie je promets
J'ai besoin de rien, je vais tout donner
Le mauvais chemin, tout recommencer
J'ai besoin de rien
J'ai besoin de rien
J'ai besoin de rien
J'ai besoin de rien
Des mots éparpillés
Quelques (?)
Sur le papier
Pour les maquiller
Et les marier
À la voix qui est
À la moitié
Et les étaler
Puis du papier
Et puis c'est ça qui est
L'outil manié
Que le brasier
Pour nous ralier
Pas rassasiés
Pour s'extasier
Pour m'extasier
J'ai besoin de rien
Pour m'extasier
J'ai besoin de rien
Pour m'extasier
J'ai besoin de rien
J'ai besoin de rien
J'ai besoin de rien
J'ai besoin de rien
Ou, ou alors des Curly
Ah ouais, ouais ouais des Curly
Des noix de cajoux aussi